En cette période de nouvelle année, à l’heure des “bonnes résolutions”, certains souhaitent se libérer d’une addiction qui fait souffrir et certains souhaitent de tout cœur s’affranchir particulièrement de l’alcool.
Les médecines douces, notamment la réflexologie faciale, le Dîen Chan, peuvent vous accompagner. Elles compléteront le suivi médical sur ce chemin difficile mais nécessaire pour une vie plus épanouie.
Que faire quand on est motivé pour reprendre sa vie en main ?
Face à une addiction telle que l’alcoolisme il est très difficile d’entamer une démarche sans être accompagné pour diminuer ou arrêter totalement sa consommation d’alcool.
La volonté, seule, ne suffira pas. Il est indispensable de se faire aider par un professionnel de santé. Si on ignore où trouver cette aide, pourquoi ne pas en parler à son médecin traitant ?
Après avoir identifié les causes qui ont conduit à la situation alarmante, il faudra affronter le sevrage avec tous ses symptômes. Des symptômes physiques et des symptômes psychologiques : agitation, tremblements, culpabilité…. Il faudra porter aussi la souffrance qui les accompagne.
Comment mieux supporter l’arrêt de l’alcool grâce à la réflexologie faciale, le Dîen Chan ?
Des approches alternatives en médecine douce peuvent être de vraies aides pour tolérer d’abord la phase de sevrage. Elles peuvent également être précieuses pour accompagner au long cours les personnes qui resteront abstinentes après le sevrage.
Accompagnement précieux dans de nombreux problèmes d’addiction, la réflexologie faciale, ou Dîen Chan, est une méthode vietnamienne mise au point dans les années 80 par le Professeur Buî Quôc Châu. Il a cartographié de plusieurs façons le visage et 256 zones de correspondances. Centrée sur le visage, cette technique présente des similitudes avec l’acupuncture, mais sans aiguille.
Les stimulations de ces zones réflexes provoquent la sécrétion de substances comme les endorphines ou l’adrénaline… Ces sécrétions ont un effet sur l’organisme au niveau des systèmes musculaire, végétatif et cardiaque.
Associée aux traitements de fonds et aux cures de la personne motivée pour se défaire de sa dépendance, la réflexologie faciale permet d’atténuer certains symptômes. Elle aide à se défaire des pulsions ou des envies imminentes, et aide à limiter l’anxiété et l’agitation ou à réduire les phénomènes de sudation. Le Dîen Chan permet d’alléger certaines causes de la dépendance en agissant sur la réduction du stress ou en décrispant un peu le sentiment de culpabilité.
C’est aussi l’occasion de prendre le temps de se ressourcer, de rentrer en soi pour recevoir un soin énergétique qui vise le mieux-être autrement que par l'absorption d’alcool.
Parmi les approches de médecine douce que je propose, le Dîen Chan me paraît le plus indiqué pour accompagner les problèmes de dépendance, comme l’alcool.
Cependant en fonction de votre personnalité, de votre histoire, je pourrai vous proposer des techniques complémentaires. Elles auront aussi leurs bienfaits, par exemple contre le stress. Ce seront toujours des moments inestimables où vous vous occuperez enfin de vous.
Qui sont les personnes alcooliques ?
L’alcoolisme peut toucher n’importe lequel ou laquelle d’entre nous. Cette dépendance s’installe bien souvent de manière insidieuse. Une consommation d’alcool, même modérée ou ponctuelle, peut devenir addictive.
Comment reconnaître qu’un proche est dépendant de l’alcool ?
Définir un individu comme “alcoolique” est complexe. Il s’agit d’un comportement compulsif irrépressible. Il se traduit par le besoin de consommer de l’alcool d’une manière inadaptée.
Au point de ne plus pouvoir s’en passer.
Au point d’en faire une priorité absolue.
Un besoin qui ne laisse plus aucune place aux autres aspects de la vie. Se procurer de l’alcool devient une obsession.
Il n'y a plus de place pour autre chose.
Ceci bien sûr peut amener à des effets désastreux, parfois irréversibles sur le plan social, familial, professionnel, sur le plan de la santé et dans les relations avec ses proches.
Quelles sont les causes de la dépendance à l’alcool ?
Elles peuvent être nombreuses, dont :
- le stress
- la pression sociale
- une éducation déficiente
- la pauvreté
- l’isolement
- ...
Il peut s’agir tout simplement au début de prendre un verre pour se détendre, pour créer du lien social, pour surmonter sa timidité ou un état anxieux.
Ensuite l’habitude du geste peut conduire à un véritable besoin de consommer une certaine dose d’alcool pour « se sentir bien ».
Petit à petit, la prise d’alcool va être de plus en plus importante.
Plus la personne boit, plus elle augmente son seuil de tolérance. Ceci explique le besoin de prendre de plus en plus d’alcool pour toujours éprouver la même sensation.
S’installe alors une perte totale de contrôle.
A ce moment-là on peut parler de dépendance à l’alcool.
Reconnaître sa dépendance à l’alcool est déjà un grand pas, un pas difficile, vers une recherche de solutions.
L’alcoolisme est-il héréditaire ?
La génétique pourrait expliquer à 50% les facteurs de risque à développer une dépendance à l’alcool. Les autres 50% seraient liés à l’environnement social voire familial. On pourrait parler de « transmission ». Si l’on a un parent alcoolique, le risque de le devenir à son tour serait multiplié par 5.
C’est pourquoi, en cas de terrain familial, il est encore plus important de se faire accompagner par un professionnel de santé pour décrocher de l'alcool. Des soins de réflexologie faciale seront aussi un complément bénéfique.
Si vous souhaitez prendre rendez-vous au cabinet pour des séances de Dîen Chan appelez-moi au 06 08 30 63 50.
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